OETH, AGEFIPH, DOETH, surcontribution, majoration… Vous êtes perdus ? On vous explique tout simplement.

MARKETING GEAS
14 nov.
2 min de lecture

L’OETH, la DOETH, la surcontribution, la majoration… Pour beaucoup d’entreprises, ces sigles ressemblent à une langue étrangère. Et pourtant, ils impactent directement votre gestion RH, votre conformité légale et même vos finances !

Si vous avez l’impression que tout cela est complexe, rassurez-vous : vous n’êtes pas seuls. Et surtout… il existe des solutions simples pour optimiser vos obligations et réduire les coûts.

L’OETH : une obligation qui peut devenir un atout

La LOI OETH impose aux entreprises de 20 salariés ou plus d’employer 6 % de travailleurs en situation de handicap.

Mais ce que beaucoup ignorent, c’est qu’il existe plusieurs façons de répondre à cette obligation, dont la collaboration avec une entreprise adaptée comme GEAS.

La DOETH : déclarer… pour mieux piloter

La Déclaration d’Obligation d’Emploi des Travailleurs Handicapés (DOETH) permet à l’État de vérifier si vous respectez l’OETH. Mal réalisée, elle peut entraîner des coûts inutiles. Bien accompagnée, elle permet au contraire :

d’éviter les erreurs,
d’optimiser les déductions,
de réduire ou supprimer la contribution AGEFIPH.

AGEFIPH, surcontribution & majoration : ce qu’il faut retenir

L’AGEFIPH collecte vos contributions lorsque l’entreprise n’atteint pas les 6 %.Si aucune action n’est menée pendant 3 ans, vous pouvez même être soumis à une surcontribution, bien plus élevée.

Et en cas d’absence totale de politique handicap, une majoration peut s’ajouter.

👉 En clair : plus vous attendez, plus cela coûte.